Ce projet consiste à centraliser depuis le Centre de Recherche de l’OMPE les recherches contre les virus et contre les moustiques effectuées dans tous les instituts publics de santé du monde.
Cela permet de mutualiser les recherches au lieu de les concurrencer et d’accélérer la lutte contre les épidémies.
1 – Introduction :
Pour des raisons de confidentialité, nous vous présentons ici notre projet en version allégée. Cependant, si vous désirez devenir un partenaire majeur de l’OMPE sur ce projet, alors vous devez nous envoyer une demande détaillée seulement en mode NDA via notre page contact en précisant le nom du projet choisi accompagné de votre niveau désiré de participation et nous vous répondrons dans les meilleurs délais.
2 – Chiffres clés :
- Nom du Projet à l’OMPE : « Virus »
- Numéro du Projet à l’OMPE : Ce projet est le projet numéro 9 de l’OMPE
- Niveau d’avancement : 0 / 5 (Classification OMPE)
- Urgence Environnementale : 5 / 5 (Classification OMPE : Très Urgent), danger majeur imminent pour la biodiversité, le réchauffement climatique et l’humanité
- ARC (Accélérateur du réchauffement Climatique) : non
- Facilité de concrétisation : Moyenne (vaccin)
- Chances d’atteinte de l’objectif : L’objectif du projet pourra être atteint à 75%
- Nombre emplois crées estimés (directs et indirects) :
- % Utilisation Energies Fossiles : Faible
- Energie de fonctionnement : sans objet
- Coût total :
- Partenaire Principal : Laboratoires internationaux
- Nombre de partenaires intéressés :
- Nombre de Pays recherchés : Maximum (Projet Global de la Planète Terre)
- Nombre de Pays intéressés :
- Nombre de Pays utilisateurs :
3 – Présentation :
Ce projet de centralisation des ressources permet une coordination exceptionnelle sur la recherche contre les virus et les maladies transmises entre l’animal et l’homme et réciproquement.
Ce projet se divise en 6 parties :
- l’éradication des espèces de moustiques vecteurs des maladies comme : paludisme, fièvre jaune, virus Zika, dengue, fièvre du Nil occidental, Chikungunya, etc..
- la suppression des marchés à ciel ouvert d’Asie et d’ailleurs, qui sont de véritables bouillons de culture pour virus (grippe, coronavirus, etc..)
- la répression stricte de l’interdiction de l’exploitation des animaux sauvages et des espèces en voie d’extinction ou des espèces protégées.
- l’application du protocole d’alerte virus du CMPE (Cf: ci-dessous)
- la recherche de vaccins contre ces virus : grippe, coronavirus, etc…
- les conséquences de la suppression des moustiques sur la chaîne alimentaire et sur leurs prédateurs (oiseaux, mammifères, reptiles, autres insectes, etc…)
Le pangolin (animal pourtant protégé) serait à l’origine du Conavirus (Covid-19) de 2020 en Chine.
Extrait du protocole d’alerte virus de l’OMPE :
Notre CMPE (Code Mondial pour la Protection de l’Environnement) précise un protocole d’alerte virus à appliquer lors de la détection d’un virus à fort indice R0 (Indice de propagation) dont voici un extrait :
- Le pays concerné doit prévenir l’OMPE dans un délai maximum de 3 jours après la découverte du virus
- Le pays doit remettre à l’OMPE la totalité des informations qu’il dispose sur ce virus (Patient 0, Indice R0, mode de propagation, etc…)
- En fonction de l’évaluation du risque, l’OMPE peut décider de la fermeture immédiate des frontières et des vols et autres échanges depuis ou vers ce pays
- L’OMPE se charge de prévenir tous les autres pays du monde et de donner les premières consignes de sécurité
- L’OMPE envoie une équipe de scientifiques équipée et spécialisée dans la zone infectée
- En cas de manquement aux règles du CMPE, le pays sera présenté devant les juges du GPEM (Grands Procès Environnementaux Mondiaux) qui est une sorte de Cour Pénale Internationale sur l’environnement.
Le Gorille est un mammifère fragile capable d’être facilement contaminé par les virus humains.