L’OMPE fait parler d’elle au Parlement !
Dans une récente interview pour Le Courrier du Parlement (à paraître prochainement), revue distribuée entre autres au Sénat et à l’Assemblée nationale, l’OMPE a pu présenter ses ambitions et exposer ses 5 projets phares en faveur de la préservation de l’environnement. Des projets que nous défendons activement depuis 2013. Si les citoyens sont sensibles à notre démarche et à nos actions, cela ne semble pas être le cas des gouvernements mondiaux. Cette interview a donc été l’occasion, encore une fois, de mettre en avant « le manque de soutien des instances sollicitées alors que l’urgence écologique est réelle ».
COP24 : quand les États se montreront-ils enfin volontaires ?
Depuis le 3 décembre 2018 se tient la 24e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques ou COP24. C’est donc en Pologne que se rencontrent actuellement 196 pays chargés d’apporter des solutions concrètes et applicables rapidement pour répondre à l’urgence climatique. Rappelons que la grande majorité des pays, dont la France, ne parviennent toujours pas à réduire leurs émissions de CO2. Malgré tout, ils doivent aujourd’hui trouver des solutions pour limiter le réchauffement à +2°C, comme prévu lors de l’accord de Paris de 2015. Un pacte climatique historique que Gilles Lazzarini, environnementaliste et fondateur de l’OMPE, savait déjà impossible à tenir : « Comment voulez-vous diminuer les émissions de CO2 de sociétés ou de pays qui gagnent justement de l’argent en polluant ? C’est impossible ! », dénonce-t-il dans Le Courrier du Parlement. L’OMPE possède aujourd’hui des solutions qui permettent de faire une transition en douceur vers un nouveau système.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est également présent à la COP24 et revient sonner l’alarme : il est urgent que les pays travaillent ensemble pour espérer avoir une chance de stopper le changement climatique. Gilles Lazzarini rappelle d’ailleurs à M. Antonio Guterres qu’il souhaite toujours endosser le poste de leadership du climat mondial et mettre en place rapidement les Grands Procès Environnementaux Mondiaux (GPEM).
L’OMPE apporte des solutions concrètes à l’urgence climatique
Nous pensons que la cause environnementale ne doit pas seulement être supportée par les citoyens, trop souvent pointés du doigts et accusés par les politiques. Depuis la création de l’OMPE en 2013, c’est surtout l’immobilisme des politiques et des institutions que nous notons et non celui des citoyens qui sont de plus en plus nombreux à nous soutenir. Lors de son interview pour Le Courrier du Parlement, Gilles Lazzarini rappelle que « De 100 visiteurs par mois au démarrage il y a 5 ans, nous en sommes à plus de 80 000 aujourd’hui. Les gens nous appellent pour nous féliciter, on reçoit des messages d’encouragement du monde entier, des États-Unis, de Chine etc… Autant de signaux témoignant que les mentalités sont en pleine mutation. ». C’est également le cas au moment de la rédaction de cet article suite à la parution de l’interview : les messages fusent de toute part pour nous féliciter !
Si les Grands Procès Environnementaux Mondiaux (GPEM) que nous voulons mettre en place ont été mis en avant ces derniers temps, n’en oublions pas nos autres projets comme l’absorbeur de CO2 et de Gaz à effet de Serre pour le réchauffement climatique. Rappelons également que l’OMPE est l’une des rares organisations environnementales totalement indépendantes : nous ne touchons aucune subvention ni aide d’aucun État. La mise en place de nos projets ne dépend donc que de votre soutien et de vos dons.
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Retrouvez l’interview complète de Gilles Lazzarini dans le dernier numéro N°869 Le courrier du Parlement (à paraître prochainement).